Georges Rousse – à la MEP – et Arles
L’espace Holbein, publie dernièrement un article sur l’artiste » metteur en images » Georges Rousse- dont voici le début…
Georges Rousse à la Maison Européenne de la Photographie Tour d’un Monde |
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Avec son intervention pendant les rencontres de la photographie, en Arles en 2006, je me suis attaché à « déconstruire » la façon dont sont faites les images de Rousse, qui privilégie toujours le point de vue unique En cela je trouve que la démarche de l’artiste, même si elle est intéressante dans l’illusion, est datée, dans le fait que cela se rapporte à un seul point de vue, centré sur un spectateur ( les autres n’ont qu’à se pousser)… et en cela proche des artistes de la Renaissance, avec la perspective conique …
je préfère de beaucoup les points de vue multiples, et aléatoires, … A noter, toujours sur l’espace Holbein, cet article, qui met bien en évidence le procédé de reconstitution « in situ », quand le personnage spectateur se place au point idéal… |
Tour d’un monde, c’est le titre d’une très belle exposition de Georges Rousse, à la MEP, que l’on pourrait appeler, sans aucune équivoque, une rétrospective. Tout y est montré, jusqu’aux travaux les plus récents.
Pour qui n’aurait pas encore la chance de connaître le travail de cet artiste , il suffit de cliquer sur l’image de gauche* et, comme par enchantement, tout s’expliquera sans aucun recours à la moindre explication… Rousse est modeste et son Tour d’un monde n’est pas le Tour du monde. Mais le monde est rond, non? Comme ici. Article auquel je vais ajouter mes propres « vues » de Georges Rousse, il s’agissait d’une installation ( en fait, plusieurs), réalisées au musée réattu d’Arles..
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R et l’art africain – 07- : croquis musée des Arts Premiers
croquis musée des Arts Premiers, quai Branly Paris
RC dit : Ces arts que l’on dit primitifs….
ces croquis ont été faits sur place – pinceau encre de chine et pilote, le 30 décembre 2009.
Ce « chapitre » présente des dessins par rapport à l’art Africain: masque Yohure de Côte d’Ivoire,
statuette du Bénin,
statue d’ancêtre Hemba (Congo ).
boîte avec couvercle poignée éléphant Lazi ( Zambie),
Chaque oeuvre de distingue par une constante invention de formes matières, qui montre la diversité et la richesse de chaque peuplade-ethnie…
La maternité Bamileke, grande statue assez récente,
est intéressante dans l’espace sous beaucoup d’angles, elle prend vraiment le volume comme quelque chose à trois dimensions, et autour duquel on peut tourner.
Visualisation des images du blog
Elles apparaissent dans les articles dans un format assez réduit: vous pouvez en cliquant dessus, les agrandir, et une fois agrandies, re-cliquer dessus afin de les visualiser dans la taille originale, où elles ont été transmises
Images non libres de droit. Me demander pour toute utilisation
R et l’art africain – 06 – aquarelles
l’Afrique
avec ces « reproductions » de masques….
en fait, pour moi l’art Africain traditionnel, est un art accompli,
et le vocabulaire des formes, très inventif,
à travers un thème comme le visage, ici , permet et soutient une attitude créative, qui rentre un peu dans un état parallèle
( à savoir comment rendre la concentration, la densité, et la spiritualité qui peuvent se dégager des masques et statues ),
d’innombrables chef-d’oeuvres dont j’ai déja fait l’écho dans mon port-folio sur le musée du Quai Branly.
les deux derniers sont des masques de l’ethnie Dan ( côte d’Ivoire)
R et l’art africain – 05 –
dejà anciennes
mais dont certaines
n’étaient
pas encore
scannées…
et bien voila qui complète le « tableau »
R et l’art africain – 04 – le cavalier , et la figure assiseDogon
le petit cavalier, et la figure assise Dogon
( à noter que j’ai fait quatre versions de ce cavalier, vu sous des angles différents)
aquarelles création perso 2004 et 2009
R et l’art africain – 03 – la terre cuite du Ghana
la tête en terre-cuite du Ghana
Aquarelle : Création perso du 16 mai 2010
aquarelle de taille assez grande ( supérieure à un format A3)…
c’est un travail » dans l’humide », c’est à dire en superposant des couches de couleur avant que celles du dessous ne soient sèches…. ce que je fais rarement, et qui ici m’a pris pas mal de temps…
R et l’art africain -02 eklablog
retour sur l’art africain
avec la publication de cet article sur eklablog, qui reprend mes croquis et les commente,
en relation avec les commentaires
d’un des blogs que je visite fréquemment l’espace Holbein,
R & l’art africain- 01 — l’humanité commence par le nombril
l’humanité commence par le nombril
Ma seule richesse est le fil de Soi
Que je n’ai pas encore coupé. ( texte de constance 19)
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Inscrite sous le garçon unijambiste,
» l’humanité commence parle nombril »
Elle nous relie donc à la mère,Un murmure infime
Trajectoires, orbites, et tours de piste .
Je tiens ce fil de soi , si fragile,
Et pourtant solidement enraciné vers sa terre.
issus de la même statuette du Congo, qui précise en légende: « l’humanité commence par le nombril » ethnie Luba Hemba
cliquer sur les reproductions pour les voir à la taille « originale »
le choix de cette statuette, et ces croquis parmi plusieurs dizaines réalisés, est dû au fait du « mystère » que me pose cette oeuvre, au sourire serein, presque Bouddha, que j’ai donc essayé de restituer à ma façon…
RC dit :
- Arthémisia a dit…
- …et les yeux clos sur son ventre, il regardait le monde…
- 8 mai 2011 14:25
- fbd a dit…
- j’aime beaucoup aussi la sculpture sacrée africaine!
lumière dedans
peinture acrylique sur toile non tendue… grand format 1,50x 1,70m
technique: superposition de couches de couleurs acrylique en transparence